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23 février 2013 6 23 /02 /février /2013 13:32

Ce monsieur n'a pas eu son article et je fais réparation.

Qui est Monsieur X.? Le X d'eXpert. 

Monsieur X. fait partie de la deuxième catégorie d'experts : les experts rétribués par une des parties et qui travaillent donc pour cette partie.

La première catégorie d'experts étant les experts judiciaires.

J'oubliais, il existe une troisième catégorie d'experts : les experts judiciaires, qui, en cours de procès, passent de la première catégorie à la deuxième!

Monsieur X est un technicien expert mandaté par la MAF assureur de l'architecte. Il fait donc parti des mes adversaires. Il est partial car il intervient, de façon privée, payé par une partie. Il n'est donc pas indépendant. Seuls, les experts judiciaires mandatés par le juge sont indépendants et impartiaux.(quoi que...le dossier nous a prouvé le contraire pour l'un d'entre eux)

Dans sa vie professionnelle Monsieur X. est un spécialiste des maisons bois.

Dans sa vie professionnelle Monsieur X. est, comme le souligne l'avocat de l'architecte :

"Expert et président de la Commission Normative de Révision du DTU 31-2 "

Son nom apparait sur ce DTU à la rubrique : "je ne peux pas le dire car il serait reconnu et cela pourrait me porter préjudice" Mais j'ai bien lu son nom. 

 On devrait donc s'attendre à ce que Monsieur X. s'appuie sur le DTU 31-2 pour souligner les manquements du constructeur qui n'a respecté aucune préconisation de ce DTU et des autres d'ailleurs. Mais il ne le fait pas.

  Sachant que le constructeur a construit hors tout DTU, il ne le dénoncera jamais!

- Le DTU 31-2 s'appuie sur tous les autres DTU, sur la règle bois-feu 88, sur la règle CB 71 (charpente), sur différents centres techniques comme le CSTB : L'expert judiciaire a démontré les carences de la maison dans ces trois domaines. Monsieur X. dans un rapport contredit l'expert judiciaire. Pourquoi?

Alors qu'il existe 6 chapitres sur la règle bois-Feu 88 pour les maisons à ossature bois, pourquoi ne rien dire lorsque le constructeur et l'architecte, sa cliente, affirme que cela ne concerne pas les constructions individuelles? Est-ce tout simplement parce que le constructeur et l'architecte n'ont pas respecté cette norme?

- Le DTU 31-2  et les maisons individuelles:
"Le Cahier des Clauses Techniques s'applique à tout ouvrage ou partie d'ouvrage dont la structure principale porteuse est en bois".
 

"Il s'applique plus spécialement aux bâtiments d'usage courant" comme "les maisons uni-familiales isolées".

Comment peut-on soutenir un constructeur qui nie le fait que la règle bois-feu 88 concerne les maisons individuelles, alors que cette règle fait partie du DTU31-2 que l'on a co-écrit?

- Le DTU 31-2 : Annexe 3 étanchéité à l'air : utilisation du film pare vapeur

Monsieur X. soutient un constructeur qui n'a pas respecté le DTU 31-2 au sujet de la pose du pare vapeur puisque il crie haut et fort qu'il n'y en a pas besoin! Pourquoi Monsieur X. n'a jamais souligné cette incohérence?

Je rajoute un petit sourire : "Chaque entrepreneur est responsable des percements ou déchirures occasionnés au film pare-vapeur. Il doit assurer les réparations nécessaires." C'est écrit dans le DTU 31-2.

Je ne continue pas ces aspects techniques car c'est tout à fait rebutant. Mais je souhaite que Monsieur X. se rende compte que je ne suis pas l'idiote de service. Je ne suis pas, comme lui, une sachante dans son domaine.

Mais je sais lire, j'ai appris à comprendre, analyser ce que je lis.

J'ai appris à en faire la synthèse.

Et, je ne joue pas sur la possible ignorance des gens que j'ai en face pour satisfaire une assurance qui m'a très certainement bien rémunéré.

Je dis sereinement à Monsieur X. que je préfère ma moralité à la sienne.

Je dis à Monsieur X. que c'est de ma maison, de ma vie, de ma famille, de ma santé qu'il s'agit.

Je dis enfin à Monsieur X. qu'il n'y a pas de gloire à détruire d'honnêtes personnes en s'appuyant sur des entrepreneurs malhonnêtes.

Je souhaite à Monsieur X. que les miroirs de sa maison soient les plus opaques possibles... 

ATTENTION :

La raison pour laquelle je ne cite pas le nom complet de Monsieur X. a été expliqué par les menaces que j'avais reçues de la part de l'architecte Mme P. si je ne retirai pas son nom de mon blog lorsque j'avais eu l'outrecuidance de la nommer. Nous, victimes, avons beaucoup demal à faire valoir les mensonges des professionnels puisque nous sommes considérées comme "des non sachantes" qui n'ont qu'à se taire car nous ne comprenons rien :

cela aussi, Monsieur X. me l'a fait comprendre à toutes les opérations d'expertises et il n'était pas le seul!

Manque de chance, Mme Sorbe, ne se tait pas,

Mme Sorbe est peut être moins bête qu'elle n'y parait.

Mais surtout, Mme Sorbe, quand elle est confrontée aux mensonges, aux malhonnêtetés, à l'injustice,

elle se rebelle,

elle ne se laisse pas faire 

mais toujours avec honnêteté, franchise et justesse

pour que la justice triomphe enfin!

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11 octobre 2012 4 11 /10 /octobre /2012 19:07

Voici à nouveau l'article en question :

 

Article I-7 : L’expert doit conserver une indépendance absolue, ne cédant à aucune pression ou influence, de quelque nature qu’elle soit.

Il doit s’interdire d’accepter toute mission privée de conseil ou d’arbitre, à la demande d’une ou de toutes les parties, qui fasse directement ou indirectement suite à la mission judiciaire qui lui a été confiée, tant que l’affaire n’a pas été définitivement jugée.

 

Et, sur le site d'une compagnie d'experts judiciaire, cet article est expliqué:

 

S’il est nécessaire que le travail de l’expert judiciaire soit bien fait, il faut surtout qu’il soit reconnu bien fait par toutes les parties. Il le sera d’autant plus que l’expert sera resté, tout au long de sa mission, un homme seul, donc imperméable à toute sollicitation et influence.

Quant aux missions éventuelles après une mission d’expertise, je mettrais à profit le second paragraphe du préambule, et je serai plus rigide que la règle. Comme vous ne saurez jamais si l’affaire est définitivement jugée, comme on risque après coup, et même dix années plus tard, de vous suspecter de partialité, n’acceptez jamais d’intervenir à titre privé sur une affaire au sujet de laquelle vous aurez effectué une mission d’expertise. Même si le carnet de commandes crie misère, la considération que l’on vous porte, et que vous devez vous porter, n’accepte aucun flirt avec ce qui peut être considéré comme une compromission.

 

J'avais donc encore une fois bien raison de me poser des questions au sujet de l'expertise privée, demandée au premier expert judiciaire qui est intervenu dans mon dossier.


Et maintenant qui ne se poserait pas la question sur la première expertise de cet expert, tellement différente, au profit du constructeur, de celle de son collègue, nommée par le juge après lui? Etait-il déjà sous l'influence du constructeur?

 

Je sais que nous n'aurons jamais de réponse à ce sujet. L'année noire 2007 est loin maintenant et il s'agit d'éviter à cet expert de me nuire davantage. C'est pour cela que je remercie mon avocate et Monsieur Mattauer d'avoir mis au jour cet article 1-7 du code de déontologie des experts judiciaires. Cet article va servir à démontrer que cet expert n'est pas un professionnel digne de ce nom.

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6 octobre 2012 6 06 /10 /octobre /2012 10:58

Comme je l'avais dit dans un précédent article, j'avais écrit à l'expert judiciaire qui était intervenu en premier à la demande du juge en 2007, en m'insurgeant contre le fait qu'il puisse intervenir à titre privé, pour une des parties en cause, dans le dossier qu'il avait lui-même instruit.

 

J'avais également écrit un mail à la chambre des experts afin de dénoncer cet état de fait.

 

Et bien, Maître Pinet, mon avocate, vient de trouver l'article providentiel dans le code de déontologie des experts :


article I-7 : l'expert doit s'interdire d'effectuer une mission privée à la demande d'une partie qui fasse directement ou indirectement  suite à la mission judiciaire qui lui avait été confiée.



L'expert D. semble l'avoir oublié!

Il est bien évident qu'on va le lui rappeler!!

Il ne manque pas d'air celui-ci!

Et, cela se confirme avec la violation de cette règle déontologique.

 

Comment peut-on en arriver là?

Combien a-t-il été payé pour établir un rapport dénigrant son collègue intègre, tout comme cet autre expert R. démissionnaire et rayé très certainement à ce jour de la liste des experts judiciaires près la cour d'appel?

 

L'argent est-il dans ce dossier la guerre des nerfs?

 

Dans un commentaire d'un précédent article, un architecte m'écrit vouloir faire une formation pour être expert judiciaire. Il m'écrit ses doutes, lisant ce que les experts judiciiares osent faire!

Je me permets de lui répondre ici : faites votre formation, allez bousculer ces hordes d'incompétents, de menteurs, de falcificateurs, d'escrocs et rejoignez ceux qui sont intègres comme il en existe tant.

 

Dans mon dossier, j'ai cotoyé 4 experts judiciares. Deux d'entre eux seulement ont été incompétents, non responsables, faisant preuve d'aucune déontologie. Les deux autres ont été corrects. Ils ont mené leur travail avec ténacité même si le résultat a été un verdict sans appel et très difficile à entendre : la destruction de ma maison.

 

50% c'est tout de même insolite, étrange, bizarre et inconcevable pour tout citoyen obligé su décision de justice de passer entre leurs mains!

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15 septembre 2012 6 15 /09 /septembre /2012 18:19

Sérieusement énervée par le rapport du premier expert mandaté puis désavoué et remplacé par le juge, je viens de lui écrire avec copie à mon avocate :

 

Monsieur,

 A la demande de Monsieur LE CONSTRUCTEUR, dans le dossier de ma maison, vous venez d’établir un rapport, non contradictoire.

Vous avez donné un avis sur les expertises de votre confrère Monsieur P., sans avoir assisté vous-même auxdites expertises.

Or, vous aviez été mandaté par le TGI de Valence, dans ce dossier, qui n’a pas été jugé, qui n’est pas clos, comme expert judiciaire.

Vous avez pris le parti d’une des parties en cause et pas la moindre,

puisque vous avez pris le parti du constructeur fautif.

Vous comprendrez alors, que je pose la question à mon avocate Maître PINET, si vous êtes dans votre bon droit.

Dans le cas contraire, je me réserve, en respectant les lois et le droit de mon pays et

avec  les conseils de mon avocate, de faire en sorte que votre rapport ne m’apporte aucun préjudice supplémentaire.

Vous comprendrez, je le pense, que j’en ai déjà assez subi depuis plus de six ans.

 Vos manquements, lors de vos deux visites d’expertises, reconnus par le TGI de Valence,

puisqu’un autre expert a été nommé à votre place,

m’ont déjà causé assez de tort.

J’envoie copie de ce mail à Maître PINET mon avocate afin qu’elle soit au courant de ma démarche

qui se veut au plus proche de mes intérêts pour que je retrouve une sérénité de vie

que j’ai perdue depuis cette année 2007 lorsque le tribunal vous a nommé pour expertiser ma maison.

Veuillez agréer, Monsieur D., l’assurance de mes salutations distinguées.

Et voilà, c'est envoyé, et...ça fait du bien...MERDE!

De quoi sont capables les gens : ni foi, ni loi!

Du moment qu'ils touchent des sous!

ECOEURANT!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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24 juin 2012 7 24 /06 /juin /2012 09:48

 

Les experts sont des personnes "sachantes", pas savantes, juste sachantes dans un domaine, le leur.

Enfin, c'est ainsi que je comprends le mot : expert.

 

Depuis 2007 de nombreux experts ont apporté leur éclairage sur la maison avec pour certains de la partialité, pour d'autres de l'incompétence, et, enfin, heureusement, pour d'autres enfin, de l'intégrité.

 

Un expert judiciaire est nommé par la justice. Il est à son service. C'est le juge qui décide qui va lui allouer sa rémunération qui est consignée au tribunal jusqu'à ce que sa mission soit terminée.

 

Un expert judiciaire peut être demandé par une ou plusieurs des parties, au juge, qui statue sur la légitimité de la demande.

 

Tous les autres experts ne sont pas "légitimes" car mandatés par une seule partie, payés par celle-ci, donc forcément impartiaux. Ils sont là, au même titre qu'un avocat, pour faire avancer, pour appuyer, ce que la partie pense être juste.

 

Je vais donc parler de tous les experts, et ils sont nombreux à être intervenus.


Les experts judiciaires :

Un premier expert judiciaire a été nommé en 2007. Il est intervenu sur une mission confiée par le juge. Au cours de sa mission, j'ai découvert des malfaçons cachées (absence de frein vapeur) et il s'est dit incompétent à statuer sur cela car non missionné par le juge pour cela. Il a chiffré des réparations dans la maison sans examiner la structure de celle-ci.

Un deuxième expert judiciaire a été nommé par le juge afin de compléter, d'affirmer ou d'infirmer la position du premier. En examinant en profondeur la structure de la maison, en faisant faire des sondages destructeurs, il a conclu en septembre 2010 à la destruction de la maison.

Un sapiteur a été demandé par le constructeur et l'architecte pour continuer cette expertise qui ne les satisfaisait pas. L'expert, sur ordre du juge, a désigné un expert complémentaire,  dit sapiteur, et lui a donné une mission.


Les autres experts :


à ma demande :

 j'ai sollicité l'avis d'un expert, inscrit sur la liste des experts judiciaires, recommandé par mon avocate, afin de déterminer s'il fallait contester ou non la première expertise judiciaire. Il a fait un rapport, après s'être déplacé sur les lieux. A la lecture de ce rapport, le juge a ordonné une nouvelle expertise judiciaire malgré les contestations des parties adverses.

 

à la demande des parties adverses:

sont intervenus :

- un technicien, président du DTU 31-2

- un expert architecte en appui de la MAF

- un deuxième technicien en appui de la MAF

- un technicien d'un bureau d'étude

- un technicien, conseil en construction

- un expert architecte, inscrit ou rayé peut être maintenant de la liste des experts judiciaires

 

Tous ces experts ont assisté l'architecte, le constructeur et l'assurance de l'architecte. Ils se sont tous ligués pour dire conjointement que la maison était rafistolable. Pour cela, ils ont fourni des plans erronnés. Cela est souligné dans le rapport final de l'expert judiciaire, seul nommé par la justice et seul, compétent à emmettre un avis circonstancié après avoir entendu, de façon contradictoire, toutes les parties, c'est à dire, les autres et MOI, bien seule devant cette meute.

 

Un mot sur le président technicien du DTU 31-2 :

 

Je n'ai pas été vérifier ces dires et je pense que cet homme, condescendend et limite insultant à mon égard de bien des façons durant les opérations expertales, est effectivement co-responsable de la rédaction du DTU 31-2.

Dans ces conditions, comment peut-il donner quitus à un constructeur de maison à ossature bois qui ne respecte aucun DTU et notemment celui dont il est responsable?

Cet homme, quand il a vu les plans erronnés du constructeur et de ses techniciens (celui du bureau d'étude et celui du conseil en construction) a dit à l'expert judiciaire, en réunion d'expertise, devant une vingtaine de personnes, que s'il avait su que les panneaux de contreventement avaient été posés horizontalement au lieu de verticalement, il aurait établi un tout autre rapport allant dans le même sens que l'expert à savoir la destruction de l'édifice. Le contreventement est l'essence même de la stabilité d'une maison à ossature bois.

Au lieu d'établir un autre rapport prenant en considération cet état de fait, il fait contresigner un rapport à toutes les parties adverses, en passant sous silence l'état du contreventement de la maison, rapport qui confirme que la maison tient et qu'elle est réparable, rapport qui affirme que l'expert judiciaire est incompétent.

Comment peut-on qualifier cette façon de faire?

 

Un mot sur cet expert judiciaire non mandaté par le juge et venant en appui aux parties adverses en fin d'expertise, après le dépot du rapport définitif de l'expert judiciaire:

 

Comment peut-il donner du crédit aux dires de l'architecte et du constructeur, comment peut-il établir un rapport discréditant la mission de l'expert judiciaire, plus de cinq ans après le début des expertises, sans avoir aucunement visité la maison?

Comment peut-il traiter son confrère expert judiciaire, mandaté par le juge, de la façon la plus vile, la plus abjecte?

Sachant ce que je sais sur cet homme et sur son comportement dans certains dossiers judiciaires, je ne suis pas étonnée de son comportement. Nombre de personnes ne s'en étonnent pas non plus.

 

Un mot sur l'expert judiciaire :

 

J'ai un moment douté de l'intégrité de ce Monsieur. Certes, il est vrai, et je le reconnais.

Soumises à des pressions de toutes part, soumises à des insultes et des menaces en réunion au point d'aller faire un signalement en gendarmerie, j'ai "pété un cable" et je lui ai écrit une lettre en ce sens.


Avec du recul, avec une réflexion, avec cette nature que j'ai, de reconnaître mes erreurs, j'avoue m'être trompée. Je lui ai fait des excuses, et, dans son rapport, il a reconnu que ma lettre avait été écrite sous une forte émotion qu'il avait, semble-t-il comprise.


Malgré le verdict de la destruction de ma maison, je pense que cet expert est un monsieur respectable et que son travail se doit d'être respecté même si on est en désaccord avec ses conclusions.


En face d'une horde de professionnels malhonnêtes, d'experts et d'avocats faisant leur travail de soutien aux parties adverses de façon extrêmement agressive, en face de moi, qui essayait d'exister avec ma petite voix de non "sachante", le travail de cet expert a été exemplaire.

Son calme a permis de terminer toutes les opérations d'expertise malgré de très fortes tensions.

C'est à cela que j'ai vu le professionnalisme de cet expert.




 



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