J'ai longuement hésité à répondre judiciairement au consultant pour diffamation et insultes dans le cadre d'une procédure judiciaire.
N'étant pas au coeur de la procédure, le consultant s'est pourtant permis d'écrire, dans le dossier de la partie adverse, des mots d'une extrême gravité à mon encontre.
Le mois dernier, je lui ai juste fait un courrier lui disant que ces mots avaient très certainement dépassé sa pensée et que ce serait bien qu'il s'excuse...
Voici un échantillon de ses écrits :
- Mme Sorbe exerce un harcèlement névrotique contre son architecte
- Mme Sorbe, est de parfaite mauvaise foi
- Cette personne complètement désemparée
- Cette personne n’avait pas les moyens financiersde ses projets
- Cette personne ouverte à toutes les influences inconséquentes ou intéressées
- Cette personne se répand en allégations diverses sur toutes les entreprises ayant participé à sa construction
- Cette personne a des délires paranoïaques
- Cette personne fait des harcèlements procéduriers à mon encontre par des allégations qui pourraient s’avérer diffamatoires et attentatoires à mon activité professionnelle
Pourquoi une telle colère?
Tout simplement, un petit piège lui a été tendu au sujet de la nécessité de la pose d'un frein vapeur dans une maison à ossature bois telle que la mienne.
Comme il n'avait pas répondu à ma demande à ce sujet, et que l'architecte et le constructeur soutenaient, avec son appui, qu'il n'y en avait pas besoin, une tiers personne, lui a écrit pour
lui demander s'il y avait besoin ou non d'un frein vapeur dans ce type de construction : un sous-marin à la solde de Mme Sorbe...
Il a fait une réponse en accord avec ses convictions et ses livres : à savoir qu'une étanchéité très soigneuse était indispensable à faire avec un freine vapeur dont il mentionne le type et la
marque! (Vario ou Intello de Proclima)
D'où sa colère et ses insultes à mon égard lorsqu'il a découvert que j'étais à l'origine de cette espièglerie!
Le plus beau, c'est qu'il récidive en soutenant une nouvelle fois le constructeur dans un mensonge, lorsque ce dernier affirme avoir posé du "trippli" en guise de frein vapeur après avoir
expliqué à l'expert judiciaire qu'il n'y avait pas besoin de freine vapeur et pourquoi il n'y en avait pas besoin!
On croit rêver...Non, on cauchemarde...