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19 mai 2013 7 19 /05 /mai /2013 17:13

Vous êtes folle Madame Sorbe, la maison est étanche.

Monsieur l'expert, c'est une vue de l'esprit qu'il y ait des infiltrations d'eau dans les parois.

Cette maison est saine, rien n'a été vu, l'isolant est bien protégé, n'a jamais été mouillé en 6 ans!

N'est-ce pas Monsieur le constructeur, Messieurs les experts partiaux des parties adverses, Mme l'architecte, Monsieur le consultant?

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C'est quoi ça alors?

Une vue de l'esprit!

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 17:33

Voici donc la lettre écrite à la niaise d'architecte qui par avilissement s'est compromise avec l'expert de la MAF, une des parties adverses dans mon dossier :

  Madame,

Monsieur B. est l'expert mandaté par la MAF, pour les intérêts de la MAF, contre mes intérêts, dans le dossier judiciaire qui nous oppose.
En aucun cas, ce monsieur est un expert au service de la justice.

Ce monsieur s'était permis de me téléphoner chez moi, à deux reprises en 2010
(après que soit éjecté le premier expert de la MAF, Monsieur R., en accord avec l'expert judiciaire sur la démolition de la maison)
afin de m'influencer à accepter une manigance amiable avec son assurance, hors cadre judiciaire, pour une réparation à moindre coût.
En accord avec mon avocate, j'ai refusé toute compromission!

Il n'a eu de cesse de me prendre de haut, avec une arrogance déplacée, tout au long des opérations d'expertise.

Il n'a de cesse de tenir des propos mensongers pour servir la MAF : il est payé par la MAF!

Ainsi vous écrit-il dans sa lettre du 8 mars
- J'ai remarqué que votre analyse ne désignait pas spécifiquement le cas de Mme Sorbe : FAUX puisque c'est pour MA maison bois, spécifiquement, que vous avez établi l'attestation.
- Abordait le sujet dans sa globalité : FAUX car c'est pour MA maison bois, spécifiquement que l'attestation a été faite
- Plus généralement le cas des maisons traditionnelles en maçonnerie : FAUX, vous car vous construisez avec votre conjoint des maisons à ossature bois et vous saviez que telle était ma demande
- construites par des artisans non rompus à ces nouvelles exigences et qui pratiquaient des prix très bas : FAUX, êtes vous ce type d'artisans?

Il écrit ensuite :
- la maison de Mme Sorbe a des équipements prévus qui représentent déjà des critères à haut rendement énergétique répondant déjà à la RT 2012: FAUX, la RT 2012 n'existait pas en 2006! Pour ma maison c'est même pas la RT 2005 qui s'est appliquée mais c'est la RT 2000. Or, si cette maison est vouée à la démolition, c'est que même la RT 2000 n'a pas été respectée : pas de chauffage, isolation mauvaise, fenêtres sans étanchéité, pas de frein vapeur, pas de ventilation!
- les plus values ne se résument pas aux seuls contôles cités par M.B. soient 1600 euros. Vous le savez très bien puisque par deux fois (mail + attestation) vous m'avez expliqué le pourquoi de la plus value RT2012. Dans votre mail du 28 février, vous vous félicitiez de la prise en compte des éléments de la RT 2012 par le tribunal pour MA maison.

Vous avez écrit, le 8 mars 2012, sans aucune réflexion :
- que le courrier de M.B. est en tout point conforme!
- que vous confirmez intégralement ses dires!
- et que l'attestation que vous m'aviez faite n'était pas SPECIFIQUEMENT pour MA maison mais se situait dans un cadre plus général!

Alors que vous savez pertinemment que l'attestation était bel et bien pour MA maison, pas pour celle du voisin!
Je crois rêver!
Un homme vous a dicté ce qu'il voulait que vous écriviez, pour le servir, contre votre "presque" cliente et vous l'avez fait!
Mais pourquoi donc vous êtes vous laissée influencer par cet individu beau parleur?

Que vous est-il donc passé par la tête?
alors que j'attendais votre avant projet sommaire pour la fin de la semaine dernière, suite au mail du 28 février :

Bonjour

Je viens de rentrer de congés et j'ai trouvé votre mail.

Tant mieux si le tribunal a pris en compte les éléments de la RT2012.

Je vais travailler sur un avant projet intégrant toutes ces données.

Je vous contacte dès que je pourrai vous le présenter. (fin semaine prochaine)

Cordialement,



Je comprends mieux pourquoi vous ne m'avez pas contactée.

Il est bien évident que je suis maintenant dans l'impossibilité totale de vous faire confiance.
ce n'est pas difficile à comprendre.
Ce n'est pas la peine que vous me présentiez votre avant projet sommaire.

Vous venez de perdre une cliente et peut être plusieurs. Dommage.

Les mensonges, les retournements de vestes, le sens moral perdu, la fausse compassion, l’égoïsme personnel ou professionnel, le profit outrancier,
sont-ils les nerfs des professionnels du bâtiment?

Votre attestation ne change en rien le déroulement de la procédure judiciaire.

Elle m'aura juste servie à y voir clair.

Vous voyez, je suis dégoûtée, un peu plus, toujours un peu plus lorsque je découvre de tels agissements.

Veuillez agréer, Madame, juste mes salutations de politesse, car je suis une personne courtoise.

Madame Sorbe

PS : je n'attends et ne souhaite aucune réponse de votre part.
PS: je fais copie de cette lettre à mon conseil

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16 décembre 2012 7 16 /12 /décembre /2012 08:36

Le constructeur magouilleur, mais non, "on ne magouille pas, on s'arrange, on connait tous les maires dans nos petits villages, on connaît la personne qui délivre les permis de construire à l'équipement, on connaît le banquier et on trouve des combines pour faire passer les prêts" dresse mon portrait dans les dernières conclusions de son avocat.

Grâce à un tissu de mensonges, il se décrit comme un ange, et me décrit comme une délinquante malhonnête, voleuse et menteuse.

Quelques extraits de ce dossier :

1- Je ne veux pas payer le solde de la facture due....alors qu'il ne m'a jamais fait de facture avant mars 2009, soit plus de trois années après la soit disant fin des travaux qui, finalement, ne sont pas terminés.

2- J'ai interdit le chantier au constructeur...alors qu'il est parti, abandonnant le chantier sans l'avoir terminé laissant les clefs sous un moellon.

3- J'ai les clefs depuis fin janvier 2007...alors que j'ai détenu les clefs, trouvées sur le chantier, du 18 décembre 2006 au 28 février 2007, date à laquelle j'ai rendu les clefs au constructeur devant témoins.

4- Je me suis opposée à la finition des travaux....alors qu'après avoir laissé les clefs en disant qu'il avait terminé, c'est le constructeur qui n'a pas respecté la date du 9 mars 2007  pour terminer, après une expertise à l'amiable payée par mes soins, en présence de l'architecte.

5- Je suis une menteuse quand je reprends le dire des experts judiciares au sujet des plans "faux" donnés par le constructeur....il s'agit d'une erreur humaine

6- Je suis une menteuse quand je soutiens, avec documents, notes techniques et mail du consultant que le frein vapeur est indispensable....alors que le consultant soutient le contraire n'hésitant pas à se discréditer lui-même, à contredire ses propres démonstrations. L'expert de la MAF, n'hésite pas lui aussi à soutenir le contraire alors qu'il sait pertinemment l'utilité de ce frein vapeur présent dans toutes les maisons à ossature bois.

7- Je suis une menteuse lorsque j'affirme que ce n'est pas la société Bonnet qui a fait la maçonnerie....alors que j'ai eu le maçon au téléphone ainsi que le terrassier...qui ne font pas partis de l'entreprise Bonnet. Et pourtant une facture de cette société a été produite par le constructeur, datée d'avant l'immatriculation de cette société, et datée d'avant l'ouverture du chantier. Mais en aucun cas, nous n'avons obtenu l'original de cette facture. De connivence avec certaines banques, comme le constructeur l'a lui-même indiqué dans un reportage en caméra cachée, il produit des ordres de virement concernant cette facture envers cette société. Il est très, très, fort.

8- Je suis une menteuse lorsque j'affirme, suite au rapport d'expertise judiciaire, que la maison est instable, instabilité démontrée par l'expert judiciaire et instabilité acceptée par les experts des parties adverses qui préconisent tous des consolidations à tous les niveaux de la maison : fondations, jambe de force pour les pilotis, solives défaillantes, ossature, soutien du faitage de toit.

9- Je tente de faire croire à la justice que des plans sont faux alors qu'ils ont été corrigés par la suite au sujet des contreventements..alors que le sens des contreventements ont peut être été corrigés sur le plan, mais ils n'ont pas été corrigés sur la maison. Les contreventements, sont bel et bien posé, dans le mauvais sens, comme le montre les photos du chantier, d'où l'instabilité de la structure.

10- Je suis une menteuse lorsque je dis que les DTU se doivent d'être respectés, que l'on doit s'appuyer dessus pour vérifier les conformités de la construction lorsque le constructeur et l'architecte sont dans l'incapacité de fournir les documents d'exécution des travaux. D'après le constructeur, les DTU sont des documents sans légitimités qui n'ont aucune obligation et ne sont qu'indicatifs. Alors pourquoi, l'expert de la MAF, a-t-il contribué à écrire de tels documents puisqu'ils ne servent à rien! 

11- Je suis une menteuse lorsque je dis que le constructeur devait faire les travaux de peinture...alors que rien de tel n'a été dit de ma part. En effet, depuis le début de la construction l'architecte devait choisir un peintre. Le constructeur voulait que je lui paie la part réservée aux peintures, alors qu'il était convenu depuis le début que ce n'était pas à lui de les faire..

12- J'ai laissé pourrir la maison volontairement...alors qu'aucune intervention n'est possible sur une construction en expertise à moins de fausser les-dites expertises.

13- J'ai refusé une réception judiciaire de la maison...alors que l'expert ne l'a pas demandé à cause de la destruction future.

14- C'est moi qui rallonge abusivement la procédure....alors que ce sont les parties adverses qui ne rendent pas les dossiers aux dates prévues, ce sont les parties adverses qui ont demandé un sapiteur, ce sont les parties adverses qui demandent encore une nouvelle axpertise.

15- Tout au long de la construction, j'aurai fait baisser le prix de la construction....alors que tout au long de la construction c'est l'architecte et le constructeur qui en ont augmenté le coût, passant de 143 500 euros à 180 000 euros (refusé par moi) et revenant à 152 000 euros accepté malgré tout. 

16- J'avais un budget trop juste...alors que j'ai accepté de rajouté 8500 euros au budget initial, mais refusé de rajouter encore plus. Un ultimatum avait été lancé en LRAC, par le consultant et l'architecte, le 7 janvier 2007 : "le constructeur reviendra sur le chantier pour finir si vous acceptez de lui verser 10 000 euros".

17- Je tente de faire croire que le constructeur est un constructeur...alors que le constructeur ne serait pas un constructeur!

18- J'aurai payé le terrassement en espèces...alors qu'une facture pour le terrassement a été émise par l'entreprise BENONIE à l'entreprise du maçon TMF. J'ai cette facture.

19- Je soutiendrai que les murs extérieurs sont en tripli...alors que c'est le consultant qui l'a écrit et que je l'ai toujours dénoncé.

20- Je suis une menteuse lorsque je dis que le consultant m'a insultée...alors qu'il l'a fait devant une vingtaine de personnes, avec des menaces telles qu'un signalement a été fait en gendarmerie dès le lendemain, et que les gendarmes lui ont téléphoné lui disant que la prochaine fois ce serait un dépot de plainte de ma part.

21- Je suis une menteuse, lorsque je dis que je n'ai pas de compagnon qui s'appelle Jacques Fouillat...alors que tous savnet que je vis seule.

22- Je suis une menteuse lorsque je dis que je n'ai eu aucune facture....alors que la seule facture a été émise en 2009 par le constructeur, soit 3 ans après la fin des travaux se manifestant par le dépot des clefs sous le moellon en date du 18 décembre 2006.

23- J'influence le tribunal en disant que Mme Chevalier a eu des soucis avec le constructeur...alors que cette dame a eu de l'argent détourné de son compte par le banquier que connait le constructeur et que sa maison présente des malfaçons telles qu'il pleut sur son canapé.

24- Je suis une mensteuse lorsque je dis qu'une procédure à l'initiative de Mme Chevalier va débuter à l'encontre du constructeur....alors que maître Pinet est l'avocate chargée du dossier de Mme Chevalier.

25- Je suis une menteuse lorsque je dis que le constructeur a fait des fautes graves...alors qu'il est en défaut d'assurance décennale et de proposition de contrat de construction passibles de prison et d'amende selon le code de procédure pénale.

26- Je suis une fraudeuse fiscale puisque ce serait moi qui aurait proposé de payer l'entrepreneur en liquide...alors que c'est lui et le consultant qui m'ont fait cette proposition par deux fois, avec comme témoin l'architecte. Ce que j'ai toujours refusé. Le constructeur détourne pour cela un mail écrit à l'architecte lui demandant une explication car je n'avais pas tout compris sur cette offre douteuse.

27- Je suis une menteuse car j'aurai dit ne pas avoir entreposé certaines affaires dans le garage...alors que tous les experts les ont vu, puisqu'elles y étaient. En aucune manière je n'ai dit, ni écrit cela.

28- Je suis une menteuse car j'habite la maison et je n'ai engagé aucun frais pour me reloger ailleurs....alors que le tribunal dispose de tous les judtificatifs de mes loyers successifs et que les parties adverses et les experts ont tous constaté que la maison est vide de meuble, sans chauffage.

29- Le constructeur a construit des centaines de maisons depuis 1996...alors que sa société a été céée en 2001...Et c'est moi la menteuse...

30- Je suis indécente lorsque je demande des dommages et intérêt et une somme réparatrice pour préjudice moral...alors que je suis malade, que je ne peux pas prendre ma retraite, que je ne peux pas recevoir ma famille chez moi, que je suis privée de mon domicile depuis 7 ans.

Quelle piètre citoyenne je suis!

Et puis aussi "j'exerce un harcèlement névrotique envers mon architecte et j'ai des délires paranoïaques" avait écrit à mon encontre le consultant.

C'est sur, qu'avec ce portrait, je n'ai plus qu'à aller en prison ou en hôpital psychiatrique!

 

 

 

 


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3 décembre 2011 6 03 /12 /décembre /2011 16:36

Je me souviens du début de cette construction où ma confiance était totale.

Je me souviens de mes questionnements auxquels m'était opposée mon ignorance.

Je me souviens de mes doutes lesquels étaient minimisés par les professionnels.

Je me souviens d'ultimatums.

Je me souviens de l'ironie, d'anecdote, de cette façon de vous prendre de haut et de vous faire douter de l'évidence, et vous en doutiez, forcément.

Je me souviens avoir alerté cette architecte qui, sans cesse, me disait que je me faisais du souci pour rien, ou qu'elle ne comprenait pas ce qui me tracassait.

Je me souviens des mensonges incompréhensibles, d'attestations mensongères.

Je me souviens du constructeur se présentant sans avocat et dire qu'il n'en n'avait pas besoin.

Je me souviens des insultes puis des menaces.

 

Si l'architecte avait daigné porter attention à sa cliente...

Si elle n'avait pas pris le parti de façon incompréhensible du constructeur...

Si elle était intervenue, si elle n'avait pas menti (notemment au sujet du poêle à bois et de son installation oubliée)...

Si elle avait été une professionnelle...

Elle n'en serait pas à ce stade de déconfiture.

 

Début 2007, ils me réclamaient 10 000 € (que je ne leur devais pas) pour continuer la maison.

En 2008, suite à une première expertise judiciaire bâclée et un expert incompétent, ils étaient heureux de ne payer que 10 000 €.

En mars 2011, après avoir contesté la note aux parties, il ont été condamnés à me verser une provision de 28 000 € supplémentaires.

Nous sommes bientôt en 2012 et c'est le financement d'une démolition, d'une reconstruction, d'une maîtrise d'oeuvre, d'un déménagement, de 65 mois (à ce jour) de privation de jouissance. Et c'est sans compter les dommages et intérêts et les frais de justice.

 

Ainsi, pour ne pas avoir voulu écouter sa cliente, une architecte est passée de la fanfaronnade à la déconfiture.

Pour m'avoir trompée, un constructeur a suivi le même chemin.

Et que dire du consultant, pour m'avoir insultée, pour m'avoir menacée, tous les trois dans la même galère.

 

Quant à moi, très éprouvée par cette expérience malheureuse, j'ai perdu 6 ans d'une vie de quiétude.

 

Au bout du bout, je vais avoir une maison sécurisée pour ma famille, dans laquelle je passerai les plus beaux moments de ma vie future.

 

Comme le disait Victor Hugo: Dans tout fanfaron, il y a un fuyard.

 

Et moi, je rajoute : Tout fuyard est rattrappé...

 

Bien entendeur...Salut...

 


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1 novembre 2011 2 01 /11 /novembre /2011 14:15

Il y a quelques temps je faisais un article sur le problème des mensonges en ce qui concerne le poêle.

Voici la liste des mensonges de l'architecte et du constructeur :

  1. Mme Sorbe a changé de poêle durant la construction (architecte)
  2. Ce n'est pas à moi de poser les radiateurs et de faire les adductions d'eau au chauffe eau solaire (constructeur)
  3. Le prix du poêle choisi par Mme Sorbe est nettement supérieur au budget de 3200 HT convenu ensemble (architecte)

 Et voici le devis du poêle avec, surligné en rouge, ce que devait faire le constructeur, le tout coordonné par l'architecte. Le prix HT du poêle est également indiqué.

 


devis poêle

 

 

 

Il est donc bien mentionné le prix HT de ce poêle commandé par mes soins : 2850 € contre 3290 € pour le budget accepté par l'architecte.

Il est bien écrit que c'est au constructeur de s'occuper de toute la fumisterie des fluides vers les radiateurs et le ballon.

Il est bien écrit que l'ensemble de ces points sera coordonné par l'architecte.

 

A ce jour, ce devis n'a pas été pris en considération ni par les experts, ni par le juge.

 

Le constructeur se permet d'hurler, au cours des réunions, qu'il en a marre de ma mauvaise foi à ce sujet...

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5 juin 2011 7 05 /06 /juin /2011 18:33

Le trio gagnant : consultant, architecte et constructeur...

Un jour, quand tout sera terminé, mon dernier article mentionnera tout ce beau monde afin que les personnes profanes en construction écologique et bioclimatique puissent faire un choix de conseils en connaissance de cause.

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5 juin 2011 7 05 /06 /juin /2011 13:10

Les mensonges commencent à tomber les uns après les autres.

 

La classe des bois :

Après m'être faite conspuée, prise pour une imbécile, de la part de l'architecte, du consultant, du constructeur et de ses techniciens, voici que l'expert me donne raison au sujet de la classe 4 pour les bois horizontaux soumis aux intempéries. Il faut dire que l'enjeu est fort. Le constructeur a mis du Douglas qui est classé 3 et ne peut atteindre la classe 4. Les poutres du plancher de la maison qui débordent au nord et au sud, en extérieur, pour les terrasses nord et sud sont de classe 3, puisque en Dougles. Le plancher des terrasses doit être en classe 4. Cela veut donc dire que toutes les poutres du plancher sont à changer!

 

La poutre faîtière :

 Le constructeur voulait faire croire que la poutre faîtière de la maison était une poutre en un seul morceau de 15 cm d'épaisseur. En fait, ce sont trois poutres de 5 cm, clouées entre elles dont la base a été cachée par une planche de Douglas vissée! L'expert s'en est aperçu durant l'expertise du 16 mai 2011.

 

La poutre verticale dans la cuisine :

 Je disais qu'elle avait été rajoutée après, directement sur le plancher déjà posé. Le constructeur et ses techniciens disaient que ce n'était pas vrai. L'expert et son sapiteur soutenaient que ce n'était pas possible. Or, en se penchant, sous l'espèce de plan de travail mis par le constructeur sans mon accord, l'expert et son sapiteur se sont rendus à l'évidence et ont fait une drôle de tête. Ne se démontant pas, le constructeur a affirmé qu'il ne s'en souvenait plus puisqu'il avait construit cette maison il y a plus de quatre ans. Puis, d'un coup, la mémoire lui est revenue, et il a affirmé alors que c'était à ma demande qu'il avait posé cette poutre "pour l'esthétique"!

 

L'entreprise qui aurait fait les plots en béton et la dalle du garage :

 Maître Pinet me fait copie d'un dire de l'avocat de l'assureur de la société qui aurait fait les plots en béton qui soutiennent la maison. Ce dire a été envoyé à l'expert judiciaire. Il mentionne que "les travaux facturés selon la facture diffusée (par le constructeur) dans le cadre de la procédure ne correspond pas du tout aux travaux réalisés. Par conséquent, il n'est pas établi que l'entreprise (en question) ait participé à cette construction." D'autre part, il est dit aussi que, sur la facture en question, aucune adresse de chantier n'est mentionnée.

 

Depuis longtemps je dis que ce n'est pas cette entreprise qui a fait les plots puisque je connais le nom du maçon qui est intervenu sur le chantier ainsi que le nom du terrassier.

 

Le juge va sûrement apprécier cette scroquerie au jugement....

 

 

 

 

 

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23 avril 2010 5 23 /04 /avril /2010 17:12

MensongeAfin de se soustraire à leurs responsabilités au sujet du chauffage non fait, l'architecte a argumenté sur ma présence à deux réunions de chantiers courant 2006 durant lesquelles le consultant, le constructeur et elle-même m'auraient conseillé un certain type de chauffage. Conseil que je n'aurais pas suivi ce qui expliquerait le fait que le chauffage ne soit pas fait dans ma maison.

 

Le type de chauffage de la maison a été choisi dès le mois de mai 2006. Il m'a été conseillé par le gérant d'une société du sud de la Drôme : un poêle écohydro d'Edilkamin.

 

La première réunion de chantier se serait passée le 13 juillet 2006 à S., chez Monsieur le consultant. Or, je n'ai jamais été invitée à cette réunion de chantier, je ne sais pas où habite ce Monsieur  et je 'ai jamais mis les pieds chez lui.

D'autre part, ce Week-end du 14 juillet 2006, toute ma famille s'en souvient car ma grand mère, née en 1907, était seule. Ses deux aides à domicile avaient eu l'idée de partir en congé en même temps. Or ma gand mère ne pouvait plus rester seule chez elle. Ce week end a été relativement éprouvant à organiser et son médecin était au courant de ma venue. Ma grand mère habitant dans le Limousin, comment aurai-je pu être dans le sud de la Drôme, et dans le Limousin le même jour?

Le médecin de ma grand-mère a eu la gentillesse de me faire une attestation disant que je me trouvais avec ma grand-mère le 13 juillet 2006.

 

Cette réunion de chantier n'a fait l'objet d'aucun compte rendu écrit bien sur.

 

La deuxième réunion de chantier se serait passée, sur le chantier, à Bathernay, le 9 Août 2006. Et cette fois encore je ne pouvais y être car la personne qui s'occupait de ma grand-mère le soir m'avait appelé en urgence le 7 août 2006, (date de l'anniversaire de mon fils). Je partis donc le 8 août 2006 au chevet de ma grand-mère, hospitalisée à domicile pour deshydratation : elle avait une perfusion à surveiller la nuit comme le jour.

Ma soeur, est venue, elle aussi pour me relayer à cette période. Là encore, pour prouver ma bonne foi et les mensonges des autres, j'ai du demander des attestation prouvant que j'étais bien au chevet de ma grand-mère. Je peux même fournir le carnet de bord, cahier de liaison entre toutes les personnes s'occupant de ma grand-mère.

 

Il n'y a pas eu de compte rendu de cette autre réunion de chantier...


Incroyable ce que les gens de mauvaise foi peuvent inventer pour essayer de renvoyer leur propre faute sur les autres.

 

Le plus amusant, si je puis dire, c'est que ces mensonges n'ont servi à rien, puisque le type de chauffage était déjà arrêté avec un devis de commande.

 

J'avais demandé à Monsieur M. s'il voulait me faire un écrit pour mentionner les dates de commande et de versement pour le poêle qu'il me fournissait car j'avais un différent avec mon architecte et avec le constructeur à ce sujet. Ce Monsieur n'a pas répondu favorablement à ma demande. Il ne voulait pas se mêler de cette histoire qui ne le concernait pas.

Par contre, il ne s'est pas gêné pour faire une attestation à la partie adverse, pour dire que je n'avais pas suivi les conseils de mon architecte et de son consultant au sujet du choix du poêle.

Or, c'est lui, qui par trois fois, m'a conseillé le type de poêle, objet du différent et ce, bien avant le début de la construction...Le piquant de cette petite histoire dans la grande c'est qu'il en a parlé lui-même au constructeur et à l'architecte. Il a remis la notice du poêle au constructeur en lui expliquant la marche à suivre (il y a schéma griffoné de sa main en rouge). Le constructeur l'a mise dans la poubelle du chantier. C'est là que je l'ai trouvée en nettoyant toutes les saletés que le constructeur avait laissé quand il est parti le 18 décembre 2006, alors que le chauffage n'était pas fait...

 

Il faut dire que Monsieur M. connaît très bien tous les protagonistes de cette douloureuse affaire...

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22 février 2010 1 22 /02 /février /2010 09:33

Voici quelles sont les garanties que vous devez exiger, par écrit, de votre constructeur.
Si vous passez par un architecte qui a une mission complète, c'est à lui, en votre nom, de vérifier si toutes ces garanties sont respectées.
En aucun cas sa déontologie et son professionnalisme ne devrait lui permettre de vous soumettre un constructeur qui n'a pas les garanties nécessaires.
Même si vous avez une totale confiance en votre architecte, demandez-lui, avec insistance toutes ces garanties.
Mais encore plus, ne traiter pas avec lui, si, malgré vos demandes il ne vous les procure pas tout, en vous assurant qu'il n'y a pas de problème, qu(il s'occupe de tout, que tout est calé, que les ennuis, s'il y en a, sont pour lui et le plaisir de construire pour vous.


  • Le contrat de construction vous protège conformément aux dispositions légales (Loi du 19 décembre 1990 Articles L 231-1 ; R 231-1 et suivants du Code de la construction) et vous garantit la sécurité en constituant un document de référence donnant les plans, le descriptif et le coût de votre maison avec les délais contractuels de réalisation et les modalités de paiement.
  • Garantie bancaire de livraison au prix convenu grâce au cautionnement d’un assureur chargé de terminer vos travaux en cas de défaillance (Loi du 19 mai 1995)
  • Garantie de remboursement qui vous permet de récupérer les règlements effectués en cas de non réalisation des conditions suspensives.
  • Garantie décennale qui vous assure pendant dix ans sur toute malfaçon ou tous les vices cachés du gros œuvre : fondations, murs, charpente couverture, planchers et enduits de façade (articles 1792 et 2270 du Code Civil)
  • Garantie biennale qui vous assure pendant deux ans sur les travaux indépendants du gros œuvre (Sanitaires, électricité, etc.)
  • Garantie de parfait achèvement qui vous donne la certitude de l’achèvement de vos travaux en respect avec le descriptif pendant l’année qui suit la réception de votre maison.
  • Garantie de prix ferme et définitif depuis la date de signature de votre contrat sauf travaux supplémentaires demandés au cours de votre chantier.
  • Garantie de délais de construction avec pénalités de retard en cas de dépassement des délais prévus dans votre contrat de construction.
  • Garantie dommages-ouvrage contractée à votre nom conformément à la Loi du 4 janvier 1978 avant l’ouverture de votre chantier. Elle vous protège en cas de difficultés sur les éléments concernés par la garantie décennale en prenant en charge, pendant dix ans après la remise de vos clés, le paiement des travaux sans recherche préalable de responsabilité des désordres constatés.

Soyez vigilant...Ces garanties obligatoires, si elles existent, sont là pour vous protéger.
J'avais posé quasiment toutes les questions au bon moment. Même pour la dommage ouvrage, mon architecte m'avait répondu, par oral, que c'était au constructeur de la souscrire en mon nom
lorsque je le lui avais demandé par écrit. C'est souvent comme cela qu'elle procédait...Tout comme le constructeur...Très peu de réponses écrites...

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20 février 2010 6 20 /02 /février /2010 16:05

J'ai longuement hésité à répondre judiciairement au consultant pour diffamation et insultes dans le cadre d'une procédure judiciaire.

N'étant pas au coeur de la procédure, le consultant s'est pourtant permis d'écrire, dans le dossier de la partie adverse, des mots d'une extrême gravité à mon encontre.

Le mois dernier, je lui ai juste fait un courrier lui disant que ces mots avaient très certainement dépassé sa pensée et que ce serait bien qu'il s'excuse...

Voici un échantillon de ses écrits :

-          Mme Sorbe exerce un harcèlement névrotique contre son architecte

-          Mme Sorbe, est de parfaite mauvaise foi

-          Cette personne complètement désemparée

-          Cette personne n’avait pas les moyens financiersde ses projets

-          Cette personne ouverte à toutes les influences inconséquentes ou intéressées

-          Cette personne se répand en allégations diverses sur toutes les entreprises ayant participé à sa construction

-          Cette personne a des délires paranoïaques

-          Cette personne fait des harcèlements procéduriers à mon encontre par des allégations qui pourraient s’avérer diffamatoires et attentatoires à mon activité professionnelle


Pourquoi une telle colère?

Tout simplement, un petit piège lui a été tendu au sujet de la nécessité de la pose d'un frein vapeur dans une maison à ossature bois telle que la mienne.

 Comme il n'avait pas répondu à ma demande à ce sujet, et que l'architecte et le constructeur soutenaient, avec son appui, qu'il n'y en avait pas besoin, une tiers personne, lui a écrit pour lui demander s'il y avait besoin ou non d'un frein vapeur dans ce type de construction : un sous-marin à la solde de Mme Sorbe...

Il a fait une réponse en accord avec ses convictions et ses livres : à savoir qu'une étanchéité très soigneuse était indispensable à faire avec un freine vapeur dont il mentionne le type et la marque! (Vario ou Intello de Proclima)

D'où sa colère et ses insultes à mon égard lorsqu'il a découvert que j'étais à l'origine de cette espièglerie!

Le plus beau, c'est qu'il récidive en soutenant une nouvelle fois le constructeur dans un mensonge, lorsque ce dernier affirme avoir posé du "trippli" en guise de frein vapeur après avoir expliqué à l'expert judiciaire qu'il n'y avait pas besoin de freine vapeur et pourquoi il n'y en avait pas besoin!

On croit rêver...Non, on cauchemarde...

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Présentation

  • : Du rêve au cauchemar
  • : Un rêve : construire une maison bio climatique avec le plus imminent spécialiste en la matière, doublé d'une architecte spécialisée et d'un constructeur recommandé. Un cauchemar : des mensonges et des fautes professionnelles, des malfaçons irrémédiables, une action en justice obligée, interminable. Toute une vie chamboulée et même menacée.
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